DPE G 2025 : rénover et gérer ses biens grâce à l’IA et la gestion locative digitale

26/8/2025
min

1er janvier 2025 : fin de partie pour les passoires G

Depuis le 1ᵉʳ janvier 2025, le marché locatif a basculé.
Tout logement classé G au DPE est désormais considéré comme non décent. Résultat : impossible de le mettre en location dans le cadre d’un nouveau bail.

Et ce n’est qu’une étape :

  • 2022 : gel des loyers pour les logements F et G.

  • 2023 : seuil “très énergivore” fixé à ≥ 450 kWhEF/m²/an.

  • 2024 : ajustement des seuils pour les petites surfaces ≤ 40 m².

  • 2025 : DPE G interdits à la location, anciens DPE (2018–2021) caducs.

  • 2028 : les F sortent du marché.

  • 2034 : ce sera au tour des E.

👉 Ce n’est pas une mesure ponctuelle. C’est une restructuration complète du marché locatif.

Trois bombes à retardement pour les pros

Pour les gestionnaires, bailleurs ou asset managers, le DPE G 2025 n’est pas un simple décret. C’est un risque à trois têtes :

  • Juridique : interdiction de louer, gel des loyers.

  • Économique : CAPEX explosifs, perte de valeur patrimoniale.

  • Opérationnel : vacance locative, communication tendue avec les locataires, gestion des baux reconduits.

Sans anticipation et sans méthode, la réglementation devient un mur. Avec les bons outils, elle se transforme en levier de valorisation.

Répondre au DPE G en 90 jours

La clé ? Structurer une réponse opérationnelle. Voici une méthode simple, en quatre étapes, déployable en 90 jours :

  1. Cadrer le terrain (sem. 0–2)
    Centraliser toutes les données du parc : DPE, typologie, consommation, loyers, validité des diagnostics.

  2. Prioriser (sem. 3–6)
    Classer les biens selon le gain énergétique attendu, le coût, et les aides mobilisables. Planifier les chantiers par grappes homogènes.

  3. Scénariser et financer (sem. 7–10)
    Construire trois scénarios par actif (sortie du G, viser D, viser C/B). Croiser avec MaPrimeRénov’, CEE, éco-PTZ et bâtir un modèle financier clair.

  4. Exécuter et tracer (sem. 11–13)
    Lancer les travaux, contrôler qualité, tracer chaque étape avec preuves opposables (photos, PV, DPE post-travaux).

👉 Ce n’est qu’avec cette structuration que la rénovation devient un investissement et pas un gouffre.

L’IA, la nouvelle boussole des pros

La question n’est plus “faut-il rénover ?” mais “où investir en premier ?”.

L’IA de kelvin permet de :

  • qualifier un parc entier à distance, à partir d’une simple adresse,

  • générer des scénarios de travaux chiffrés,

  • estimer aides et ROI,

  • hiérarchiser les interventions par ratio coût/gain énergétique.

On ne navigue plus à l’aveugle. On investit avec une vision claire du saut de lettre atteignable et du retour sur CAPEX.

La gestion digitale, l’autre moitié de l’équation

Rénover vite, c’est bien. Mais si la gestion locative reste manuelle et éclatée, tout se grippe : baux suspendus, relances oubliées, litiges mal suivis.

Avec des solutions comme Ublo, les pros gagnent en fluidité :

  • automatisation quittances & relances,

  • gestion centralisée des baux,

  • ticketing incidents + messagerie intégrée,

  • états des lieux dématérialisés,

  • portail locataire 24/7,

  • API ouverte pour connecter à l’existant.

Résultat : moins de friction, plus de transparence. Même en plein chantier, la relation locataire reste fluide.

Rénover sans gérer = vacance et flux perdus.
Gérer sans rénover = loyers gelés et valeur patrimoniale en chute libre.

👉 Les deux approches doivent avancer ensemble :

  • kelvin qualifie le bâti, génère plusieurs scénarios, estime les aides, fiabilise le plan CAPEX.

  • Ublo digitalise la gestion, automatise les flux et trace les preuves opposables.

Au final :

  1. Identification des passoires et DPE caducs,

  2. Qualification IA (Kelvin) → arbitrage CAPEX/ROI,

  3. Exécution + gestion (Ublo) → continuité de service,

  4. Traçabilité complète avec DPE post-travaux.

2025 n’a pas seulement modifié le cadre réglementaire. Elle a changé le référentiel de valeur : désormais, un bien immobilier se mesure autant à sa performance énergétique qu’à sa gestion opérationnelle.

Avec kelvin pour fiabiliser et prioriser les scénarios de rénovation, et Ublo pour assurer une gestion digitale sans friction, les pros ont enfin une chaîne complète pour transformer le couperet réglementaire en véritable levier de valorisation.

👉 La séquence est simple : qualifier vite, prioriser intelligemment, exécuter propre.

C’est la seule voie pour rester conforme, protéger la rentabilité et anticiper la prochaine vague (F en 2028, E en 2034).

Vous souhaitez accompagner efficacement les projets de rénovation énergétique?
On vous montre comment lors d'une démonstration de kelvin.
Réservez un créneau de demo
Vous souhaitez estimer des projets de rénovation énergétique ?
Testez le simulateur pour voir comment il s’intègre à votre site.
Tester le simulateur

DPE G 2025 : rénover et gérer ses biens grâce à l’IA et la gestion locative digitale

August 26, 2025

1er janvier 2025 : fin de partie pour les passoires G

Depuis le 1ᵉʳ janvier 2025, le marché locatif a basculé.
Tout logement classé G au DPE est désormais considéré comme non décent. Résultat : impossible de le mettre en location dans le cadre d’un nouveau bail.

Et ce n’est qu’une étape :

  • 2022 : gel des loyers pour les logements F et G.

  • 2023 : seuil “très énergivore” fixé à ≥ 450 kWhEF/m²/an.

  • 2024 : ajustement des seuils pour les petites surfaces ≤ 40 m².

  • 2025 : DPE G interdits à la location, anciens DPE (2018–2021) caducs.

  • 2028 : les F sortent du marché.

  • 2034 : ce sera au tour des E.

👉 Ce n’est pas une mesure ponctuelle. C’est une restructuration complète du marché locatif.

Trois bombes à retardement pour les pros

Pour les gestionnaires, bailleurs ou asset managers, le DPE G 2025 n’est pas un simple décret. C’est un risque à trois têtes :

  • Juridique : interdiction de louer, gel des loyers.

  • Économique : CAPEX explosifs, perte de valeur patrimoniale.

  • Opérationnel : vacance locative, communication tendue avec les locataires, gestion des baux reconduits.

Sans anticipation et sans méthode, la réglementation devient un mur. Avec les bons outils, elle se transforme en levier de valorisation.

Répondre au DPE G en 90 jours

La clé ? Structurer une réponse opérationnelle. Voici une méthode simple, en quatre étapes, déployable en 90 jours :

  1. Cadrer le terrain (sem. 0–2)
    Centraliser toutes les données du parc : DPE, typologie, consommation, loyers, validité des diagnostics.

  2. Prioriser (sem. 3–6)
    Classer les biens selon le gain énergétique attendu, le coût, et les aides mobilisables. Planifier les chantiers par grappes homogènes.

  3. Scénariser et financer (sem. 7–10)
    Construire trois scénarios par actif (sortie du G, viser D, viser C/B). Croiser avec MaPrimeRénov’, CEE, éco-PTZ et bâtir un modèle financier clair.

  4. Exécuter et tracer (sem. 11–13)
    Lancer les travaux, contrôler qualité, tracer chaque étape avec preuves opposables (photos, PV, DPE post-travaux).

👉 Ce n’est qu’avec cette structuration que la rénovation devient un investissement et pas un gouffre.

L’IA, la nouvelle boussole des pros

La question n’est plus “faut-il rénover ?” mais “où investir en premier ?”.

L’IA de kelvin permet de :

  • qualifier un parc entier à distance, à partir d’une simple adresse,

  • générer des scénarios de travaux chiffrés,

  • estimer aides et ROI,

  • hiérarchiser les interventions par ratio coût/gain énergétique.

On ne navigue plus à l’aveugle. On investit avec une vision claire du saut de lettre atteignable et du retour sur CAPEX.

La gestion digitale, l’autre moitié de l’équation

Rénover vite, c’est bien. Mais si la gestion locative reste manuelle et éclatée, tout se grippe : baux suspendus, relances oubliées, litiges mal suivis.

Avec des solutions comme Ublo, les pros gagnent en fluidité :

  • automatisation quittances & relances,

  • gestion centralisée des baux,

  • ticketing incidents + messagerie intégrée,

  • états des lieux dématérialisés,

  • portail locataire 24/7,

  • API ouverte pour connecter à l’existant.

Résultat : moins de friction, plus de transparence. Même en plein chantier, la relation locataire reste fluide.

Rénover sans gérer = vacance et flux perdus.
Gérer sans rénover = loyers gelés et valeur patrimoniale en chute libre.

👉 Les deux approches doivent avancer ensemble :

  • kelvin qualifie le bâti, génère plusieurs scénarios, estime les aides, fiabilise le plan CAPEX.

  • Ublo digitalise la gestion, automatise les flux et trace les preuves opposables.

Au final :

  1. Identification des passoires et DPE caducs,

  2. Qualification IA (Kelvin) → arbitrage CAPEX/ROI,

  3. Exécution + gestion (Ublo) → continuité de service,

  4. Traçabilité complète avec DPE post-travaux.

2025 n’a pas seulement modifié le cadre réglementaire. Elle a changé le référentiel de valeur : désormais, un bien immobilier se mesure autant à sa performance énergétique qu’à sa gestion opérationnelle.

Avec kelvin pour fiabiliser et prioriser les scénarios de rénovation, et Ublo pour assurer une gestion digitale sans friction, les pros ont enfin une chaîne complète pour transformer le couperet réglementaire en véritable levier de valorisation.

👉 La séquence est simple : qualifier vite, prioriser intelligemment, exécuter propre.

C’est la seule voie pour rester conforme, protéger la rentabilité et anticiper la prochaine vague (F en 2028, E en 2034).

Ressources

Découvrez les articles similaires